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Radiographie

 

sans titre

Sur la tête une hirondelle tourne encore et hésite à se poser car le repos est son dernier combat.
Comme une pierre sommes-nous? Sommes-nous comme une maison? Comme des pierres sommes-nous? Comme des miroirs brisés sommes nous si morcelés?


Comme les oiseaux doit-on quitté notre impossible pays pour un autre?
La maison est devenus pierres doit-on creusé dans la tombe creusée?
Et se couvrir d'étoiles filées dans la mer après l'été?
Prendre les photos comme des pierres et souffler comme pour effacer le temps
Sans jamais penser que le perdre deviendra retrouver?


Les chiens noirs sont là!
Ils me transpercent le cerveau.
Sur le thorax le cœur se dé-bat.
La cage à la porte ouverte.
L’oiseau-filant comme une balle d'un pistolet.


Au moment ou il s'est coupé en deux
L’arbre a rompu les branches.
Un instant encore
La terre tombe sous le choc.
Électro –bleu-décousu



Le fil est entré enfin dans le trou de l'aiguille.
Coudre et découdre,
Monter et descendre la pente mille fois
Avant la mort de l'étoile déjà morte
Avant le soleil.




Terre vierge sous les pierres, scintillement à rebours
Le clapotis des aiguilles sur le drap cesse devant ton absence




Nasonnement du décors et schlintement des images
Des corps jetés sur des corps et personnes n'est là à regarder.
Morcellement de la voix et du voisinage
Comme l'introjection du sein




Eau est clapotis dans la bouche. Le clitoris sur la peau
Ouverte comme un vagin prêt à dés-enfanter.
A la recherche du cordon perdu.
Silence assourdissant génère toujours un cri.


Une, deux, trois, quatre, huit, douze...
Une à une je les comptes mes parties du corps.
Elles sont là ? Ma peau, ma peau, mes yeux, mes mains elles sont là ? Je vous oublie quand je suis seule,
Sans l’Autre, vous n’existez plus.