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Radiographie

 

Atome


Comme un fantôme je survol le sol sans jamais atteindre le soleil
Un symptôme d’un déséquilibre abyssal de cailloux dans mon sommeil
Hypothétiquement
Pathétique

 
 

Une figue.
Un inconnu tu étais, une figure sans visage
Une pierre sauvage.

Quand ma métrique a rencontré ta panique,
Laideur à laquelle je m’offrais comme une aumône à un riche,
Le sinistre oiseau à une seule aile gauche s’est constellé.
Car on ne peut qu’entre-ouvrir la bouche face à des ossements.

Nous ne sommes que des éclatements de vues,
Des mi-hommes et mi-boucs abandonnaient au pain perdu, à l’hypnose du jasmin battu.
Le jasmin que j’avais moi-même enfanté de ta tombe
Qui est devenue fleur après avoir était un cri strident et qu'on a commencé à se faire payé le prix d’une dette anonyme archéologiquement .
Nous ne sommes que des expressions,
Une clinique dans la clinique du moribond




Hypnose,
Fleur du hasard,
Jouissance jusqu’au dévoilement,
Jusqu’au viol.
Vol d’un sexe charcuter jusqu’à l’os.




Pellicule et cuticule
Peaux mortes d’hier confondues avec celles de demain
Confondues avec le moulin tournant
Comme la passion de l’anémone ou
Comme cette fleur adoratrice du soleil
Comme ce sol désaxé par la peur
Tournant
Comme une sexualité politiquement mystique
Comme un statu quo
Comme une dent molaire.







Les ordures des pensées, graines ardues de la médecine de l’os.
Chirurgie de l’abstrait.

 
 

Le saint vertige décalant mes verbes, je survis malgré les vestiges.
Anorexie de l’appétit bestiale ne fait que mettre sur la table un fil et une aiguille.
Coudre est une identification précoce qui fonctionne comme une grossesse.
Comme une lampe agonisante soufflant sa dernière lumière.
La mère est un pouce de panda,
Une jungle
Ou un éléphant,
Elle fait des enfers des autres mon miroir apocalyptique.
L’enfer est en moi!
L’enfer est en moi!
L’enfance est mutique!
L’on ne dit rien car l’on n’a rien à dire
Car la figure de l’Autre est
un ogre
Depuis le début jusqu’à a fin.

Tu es une gorge
Déchirée au bord des yeux comme un précipice.
Tu ne fais que représenter la séparation du " il ".
Diabolique et symbolique.
Tu es une "île" en plein océan.
Tu es un fœtus dans un placenta atlantique.
Tu es tué sporadiquement.

 
 

La montagne dans ma gorge dépasse mon thorax pour troubler le montage de l’universel.


La vérité est que je suis ma peau mais ma peau ne se contient plus dans ce monde. La vérité est que je pro-cède parce que j’ex-cède. La vérité est dans ça!


La montre est fixée à vingt heures.


Vint ensuite le moment de la clé et la porte…


La vérité est que je ne sais plus où je l’avais mise. La vérité est la mante religieuse. Le scarabée,lui, il se sent plutôt appartenir aux insectes.

En Cherchant la clé

Jupiter fit un tour et puis Vénus fit un tour et la clé est toujours introuvable.

L’inceste contre toute pureté est un acte politique.L’insecte conte toute impureté est un policer.

Les êtres comparables aux hêtres, mais seule je suis le déversement de la cornée, un saule pleureur.
L’heure est fixée à vingt heures vingt-minutes, l’heure de ma mort quotidienne.
La soif des oreilles et des yeux, elle par contre, elle est intempestive.
Le moment du vin, lui, c’est comme un pépiement dans la bouche.

Ensuite vint le moment de la clé et la porte,du train qui passe au rythme de mon cœur sur cette montagne qui dépasse mon corps.

Pluton est mort et Mars n’a pas payé sa dette et la clé est toujours introuvable!
La terre fit l’autiste et Saturne fit un tour.

La vérité est que je ne sais pas si je suis une lysimaque ou un moineau. La vérité est que je ne sais pas si une brindille vaut mieux qu’une vie humaine. La vérité est une mosaïque de mensonge.

Et j’ai trouvé la clé, et elle fit un tour.
Un tour en moi.
Je suis une prosaïque. Une tombe suspendue sur une falaise en poudre.

 
 

Dans la photographie autistique
La clinique de la rétine
Contient avec toute sa force les nombreuses graines de l’histoire
Quant à la préhistoire, elle n’englobe que la paroxétine des mots du
baobab
imbiber
De migraine
Boire!
Il faut boire les photos
Et enterrer mes noirs visages dans les mains


J’ai pris mes mains et j’ai enterré mon visage dedans

 
 

Deux nuages cachent ta lune
Deux nuages nous séparent
Comme la peau qui sépare le corps du décor
Deux nuages
Comme deux hirondelles qui s’accouplent
Ton visage
Est un mirage
Dans ma mémoire
Deux nuages me séparent de toi
Comme une couche de terre qui sépare
Les morts des vivants
Deux nuages devant mes yeux
Ou plutôt derrière

 
 

Jamais on ne tiendra le soleil entre les mains
comme jamais on ne tiendra « main-tenant »