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Radiographie

 

Comme les oiseaux doit-on quitter notre impensable pays vers des murs sans pierres, comme le sol en dehors de toute ironie, en dehors de tout geste paradoxal de mon oiseau-écrivain écrivant, l’espace d’une minute, l’espace de l’antiquité et du contemporain.
En dedans de l’espace de l’écorce corporelle, en dehors d’une dent accrochée au genou, en dehors d’un estomac et d’une clavicule, j’existe.
L’espace d’un peau-aime existe dans l’exile expatrié car expiré et exaspéré par l’exactitude. L’espace habité d’une maison exclue c’est exactement et géométriquement ce qu’il reste.
Il ne me laisse pas d’espace dans son noyau car il porte le noyau du bleu en évitant l’éclipse des astres muraux me laissant sans maintenant, ici, sans visage.
Il ne me reste qu’à chasser le dedans de l’atmosphère semi-automatique du corps.
Il ne me reste qu’à retourner vers un irréalisable retour.




Viens porter avec moi le fardeau appelé espoir.
Espoir de te porter un jour
Deuil!
Viens, le monde est presque fini alors il ne nous reste qu’à creuser la terre.
Viens marcher dans le cortège funèbre de ma mort,
Voir réaliser mon premier désir celui de mon origine
Se décomposer et se dissoudre avec la terre jusqu’à l’orgasme
Couler avec elle dans le feu
Qui coule dans l’incandescent avec insolence
Viens ma bouche est seule.
Mes mains sont akinésiques ces derniers jours.
Etaye-toi sur mon dos
Qui te supporte
Je ne peux plus te toucher, la chaise.

 
 

Dans la matrice de la culture et la connaissance subjectivante, la fourmi n’a pas su percer le trou de l’aiguille. Le scalpe chronomètre l’impensable façon de pénétrer dans les coulisses des yeux.
C’est finalement la Chose qui touche le début quand le non-dit est irreprésenté comme le désir innommable.
C’est finalement et dès le début, la Chose que « je » suis pour la mort comme il est pour la vie qui prolonge le langage au pied de la lettre. La Chose ; d’abords l’angoisse d’une abeille chromatiquement décapitée, enfin un ovaire brisé par un astéroïde.