Dans les rues sombres de ton corps, je m’étale.
Jamais l’anatomie humaine ne faisait jaillir autant de lumière.
Dans les interstices de tes muscles il y a une étoile
Le soleil
Il y a père et il y a mère
Il y a vie et il y a mort
Il y a un accouchement douloureux,
Ta souffrance néonatale.
Dans les fissures et les pores de ta peau il y a un voyage
Celui qui mène à l’unification du passé avec le présent et qui dit « amour » en mélangeant ta naissance et ta vieillesse.
Dans les images collées sur ton visage il y a le monde sauf moi qui t’appelle audio-visuel ou plutôt Visuel sans oreilles.
Le monde sans moi qui ne suis plus.
Dans les solstices de tes yeux il y a l’algèbre de mes mains,
Il y a une fractale descendant jusqu’à ta lèvre en embrassant ton philtrum.
Dans l’ombre de ton nez il y a l’incommunicable.
Et sur ton front il y a la table
De ton combat solitaire.
Jamais l’anatomie humaine ne faisait jaillir autant de lumière.
Dans les interstices de tes muscles il y a une étoile
Le soleil
Il y a père et il y a mère
Il y a vie et il y a mort
Il y a un accouchement douloureux,
Ta souffrance néonatale.
Dans les fissures et les pores de ta peau il y a un voyage
Celui qui mène à l’unification du passé avec le présent et qui dit « amour » en mélangeant ta naissance et ta vieillesse.
Dans les images collées sur ton visage il y a le monde sauf moi qui t’appelle audio-visuel ou plutôt Visuel sans oreilles.
Le monde sans moi qui ne suis plus.
Dans les solstices de tes yeux il y a l’algèbre de mes mains,
Il y a une fractale descendant jusqu’à ta lèvre en embrassant ton philtrum.
Dans l’ombre de ton nez il y a l’incommunicable.
Et sur ton front il y a la table
De ton combat solitaire.