Tu es sans nom car tu tue
Le nom
Reste le prénom que je veux tuer,
Le prénom qui ne cesse de me tuer,
Tu es sans nom du père car tu as tué
Le père, sacrifice du père et fils
Sans père sacré.
Je répète son prénom et mon assassina se répète
En même temps, à chaque fois que je prononce les lettres c'est des têtes
Qui sortent de ma gorge, fils sans père et père sans fils, tu me tue.
Assassin et fils sans père,
Son père voulait le sacrifier
Ça crée prénom assassin
Mère de nom mais mer de prénom prêtent à partir pour une nuit de tourment et de merde,
Mer de noms émotifs gravitant autour de la voie lactée et la
Mère au sein et le lait à cinq branches dans l’orbite d’éros et la laide mendiante a passé depuis peu et a pénétré dans
La mer quand la mère sans nom qui cache derrière elle son fils attache l’amertume du cordon au liquide qualitatif aux ombres ombilicales autour de la lune qui se noie dans la brume et qui crie avec un silence assourdissant le nom du père absent
Mer d’oies sous l’oiseau volant vers le ciel étoilé depuis la terre originel du chaos
Iles sans attaches loin dans l'océan
Sommeille en toi le demi-dieu albatros
Mort de fatigue et plein de diamant
À la main, délabrée est la bouche décousu et sans plumes est sa peau
les nuages comme un os entre dans sa cage thoracique
Laissant devant moi un bleu sur le visage comme des tombeaux
Le nom
Reste le prénom que je veux tuer,
Le prénom qui ne cesse de me tuer,
Tu es sans nom du père car tu as tué
Le père, sacrifice du père et fils
Sans père sacré.
Je répète son prénom et mon assassina se répète
En même temps, à chaque fois que je prononce les lettres c'est des têtes
Qui sortent de ma gorge, fils sans père et père sans fils, tu me tue.
Assassin et fils sans père,
Son père voulait le sacrifier
Ça crée prénom assassin
Mère de nom mais mer de prénom prêtent à partir pour une nuit de tourment et de merde,
Mer de noms émotifs gravitant autour de la voie lactée et la
Mère au sein et le lait à cinq branches dans l’orbite d’éros et la laide mendiante a passé depuis peu et a pénétré dans
La mer quand la mère sans nom qui cache derrière elle son fils attache l’amertume du cordon au liquide qualitatif aux ombres ombilicales autour de la lune qui se noie dans la brume et qui crie avec un silence assourdissant le nom du père absent
Mer d’oies sous l’oiseau volant vers le ciel étoilé depuis la terre originel du chaos
Iles sans attaches loin dans l'océan
Sommeille en toi le demi-dieu albatros
Mort de fatigue et plein de diamant
À la main, délabrée est la bouche décousu et sans plumes est sa peau
les nuages comme un os entre dans sa cage thoracique
Laissant devant moi un bleu sur le visage comme des tombeaux
for this post
Leave a Reply