La nostalgie de mon cortex visuel me déchire jusqu'à l’os,
De mon front jusqu’aux tympans « Il » me manque et l’hippocampe ne m’aide pas
L’écoute dans le sang, la plus belle musique c’est la voix de l’Homme
La rétine est cliniquement amorphe, aphone parole sans parabole en direction de l’Autre,
Musique sans aucun accord quand il y a un absent !
Le papillonnement des cils,
Des images,
Et du brouhaha sordide des yeux,
Le nystagmus,
Comme le pendule arraché de ma poitrine
annoncent bien un cataclysme.
Le fracas de cette nostalgie fait du monde autour de moi une poire pourrie, l’enfer c’est l’Autre en moi.
L’enfer c’est l’absence de sources minérales, mon corps rentre dans un processus de dissolution, je perds mes os.
Le granite dans le cœur et l’ardoise à la place des mains,
La nostalgie de mon organe du toucher
De l’eau est immense !
j'aimerai tant etre ta muse , te faire produire du bonheur ;s
cela n'empeche que j'aime le style enfouie d'un reveur bléssé.